Causeries initiatiques pour le travail en loge d'apprentis, volume 1

• Dervy (2004)
• ISBN : 978-2-84454-112-3
• 148 páginas

«La science affranchit les masses de ses servitudes matérielles mais ne les émancipe pas, car - spécifiquement - elle les dépasse. La vulgarisation de ses données expérimentales n'est elle-même féconde que dans la mesure où elle laisse deviner que derrière elles il y a encore autre chose.
C'est à dégager les grandes lois de cet inconnu que travaille la Maçonnerie et c'est pourquoi elle est un des facteurs les plus puissants de l'évolution humaine.»

Sur le Tombeau d'Hiram

Causeries initiatiques pour le travail en chambre de compagnon, volume 2

• Dervy (2001)
• ISBN : 978-2-84454-110-9

«Regarde donc, mon fils, cette foule en délire qui s'agite autour de ce dérisoire lampion... Que dis-tu ? Elle célèbre le culte de la Lumière ? Ignorerait-elle que la Lumière brille au zénith et non au fond d'une impasse ? Visible de partout, elle guide l'Humanité en marche, elle révèle à l'Initié la route qui conduit l'Homme à son destin. Mais que peut-elle signifier ici ? À peine les fidèles s'écartent-ils de ce triste lumignon qui la parodie que déjà les ténèbres les happent et s'en font une proie. - Gardez-vous, Hommes de bonne volonté, des faux apôtres du sublime ! - L'Étoile Flamboyante n'est point l'enseigne d'une boutique où la Sagesse se débite à l'aune et où tous sont également servis.»

Sur le Tombeau d'Hiram

 Causeries initiatiques pour le travail en chambre du milieu, volume 3

• Dervy (2004)
• ISBN : 978-2-84454-111-6
• 168 páginas

«O toi, qui veux parer ton esprit de la sagesse du Maître et ton cœur de sa Bonté. O toi, mon fils bien-aimé, seras-tu assez fort pour supporter ce fardeau surhumain ? Tu fus un apprenti fervent, as-tu aussi été un compagnon consciencieux ? Tu hésites, ta conscience n'ose répondre ! Que dois-je craindre ? De te voir, dès demain, devenir le comédien de tes premières sincérités ? Vas-tu noyer ton ignorance dans le flot des paroles redondantes qui grisent les hommes mais dessèchent l'âme, vas-tu te draper dans ton titre comme le rhéteur dans sa toge ou as-tu compris que plus on monte, plus il faut savoir descendre ? Le grand n'est vraiment grand que lorsqu'il sait se diminuer, le Maître n'est vraiment maître que lorsqu'il se sent redevenir apprenti.»

Sur le Tombeau d'Hiram