Editorial
Oser. La femme du XXIe siècle, connectée, multitâche, tchatte sur les réseaux sociaux, échange sur les forums, « tweete et retweete », court après son bus, fait répéter leurs leçons à ses enfants ou petits-enfants, pare aux urgences du quotidien.Vie active d’échanges tous azimuts et pourtant … le smartphone ne capte pas de réseau pour les questions existentielles. Les réponses sont à chercher en soi, dans son réseau de réflexions intérieures et intimes.
Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.
Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ? Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.
Marie-Thérèse BESSON, Présidente 
Nous rejoindre
21ème Rencontres Humanistes et Faternelles Africaines et Malgaches - 8 et 9 février 2013 - Kinshasa
La Grande Loge Féminine De France en compagnie des autres obédiences françaises, Droit Humain, Grand Orient, Grande Loge de France a répondu à l'invitation des Rencontres Humanistes et Faternelles Africaines et Malgaches (REHFRAM) les 8 et 9 Février 2013 derniers.
Ce fut, pour les représentantes de la Grande Loge Féminine de France, l'occasion d'aller à la rencontre des franc-maçonnes des loges de la GLFF, implantées au Congo Brazzaville, au Gabon, au Togo et au Sénégal afin de renforcer les liens et d'apporter leur soutien aux actions humanitaires locales.
Ces journées ont rassemblé les franc-maçonnes et les franc-maçons autour du thème « le franc-maçon, Homme de Devoirs et d'Obligations » : comment la franc-maçonnerie peut elle enrichir « l'africanité », comment peut-elle contribuer à la Paix, au Droit et à la sécurité de tous, là où « la démocratie est bafouée, les inégalités criantes, la misère indescriptible et là où la corruption bat son plein ?».
A l'issue de ces journées les obédiences africaines et malgaches présentes ont publié la déclaration suivante.