Editorial

Oser. La femme du XXIe siècle, connectée, multitâche, tchatte sur les réseaux sociaux, échange sur les forums, « tweete et retweete », court après son bus, fait répéter leurs leçons à ses enfants ou petits-enfants, pare aux urgences du quotidien.
Vie active d’échanges tous azimuts et pourtant … le smartphone ne capte pas de réseau pour les questions existentielles. Les réponses sont à chercher en soi, dans son réseau de réflexions intérieures et intimes.

Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.

Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ?  Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.

Marie-Thérèse BESSON, Présidente 

Lire la suite

Lire la suite

Nous rejoindre

Cancer : les sénateurs votent le droit à l’oubli

Les sénateurs ont voté dans la nuit de mercredi à jeudi l’instauration d’un droit à l’oubli pour les anciens malades du cancer : ceux-ci n’auront plus à mentionner leur ancienne maladie afin d’obtenir un prêt ou pour négocier leurs conditions d’assurance.

Les sénateurs ont en outre adopté une série d’amendements raccourcissant notamment les délais établis par la convention signée en mars par le gouvernement et les assureurs : le délai maximum pour accorder le droit à l’oubli est fixé à dix ans et non plus à quinze ans. Les mineurs, pour leur part, bénéficieront du droit à l’oubli cinq ans au maximum après la fin des traitements. Les sénateurs ont également décidé d’étendre le droit à l’oubli intégral à cinq ans aux personnes de plus de 18 ans pour lesquelles le taux global de survie à cinq ans par pathologie est comparable à celui des enfants et adolescents

Source AFP — 1 octobre 2015 à 22:16

Accueil - Nous contacterMentions légales