Editorial

Oser. La femme du XXIe siècle, connectée, multitâche, tchatte sur les réseaux sociaux, échange sur les forums, « tweete et retweete », court après son bus, fait répéter leurs leçons à ses enfants ou petits-enfants, pare aux urgences du quotidien.
Vie active d’échanges tous azimuts et pourtant … le smartphone ne capte pas de réseau pour les questions existentielles. Les réponses sont à chercher en soi, dans son réseau de réflexions intérieures et intimes.

Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.

Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ?  Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.

Marie-Thérèse BESSON, Présidente 

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Démenti formel - 15 janvier 2013

Catherine Jeannin-Naltet, Grande Maîtresse de la G. L. F. F dément formellement des propos qui lui sont prêtés dans un article de la publication "Franc-maçonnerie magazine".
Voici la lettre qui lui est adressée ce jour.

 

Voici la lettre qui lui est adressée ce jour : 
 
A l’attention de Franc- Maçonnerie Magazine
M. Jean -Marc Vesinet
BP 30114
94102 SAINT-MAUR CEDEX
 
Monsieur,
 
Je prends connaissance de votre article titré LES FRANCS-MAÇONS ET LE POUVOIR dans le dernier numéro de votre magazine.
Les propos que vous m’y faites tenir, repris dans un sous-titre qui se veut « accrocheur », me scandalisent.
Vous manipulez et travestissez toute la teneur de l’entretien que j’ai accordé à Jean Moïse Braitbergau cours des dernières semaines de 2012.
Je n’ai pas prononcé les mots qui me sont prêtés : « J’accepterai, à titre personnel qu’une femme ayant la tête couverte siège sur les colonnes » et je les récuse vigoureusement.
Je vous demande d’en publier le démenti formel dès à présent dans la version web de votre Magazine, ainsi que dans votre prochaine édition imprimée, en y insérant ma lettre.
 
Je persiste et signe sur le fait que la Grande Loge Féminine de France, conformément à ses principes et valeurs fondatrices, accueille sans ostracisme, ni préjugés, toute personne croyante ou non croyante, quelle que soit son origine ethnique ou sociale, sa culture ou sa religion.
Nous sommes particulièrement attachées à la valeur républicaine de la Laïcité qui figure dans l’énoncé des principes de La Grande Loge Féminine de France.
Avec la Liberté l’Egalité et la Fraternité, la Laïcité garantit la concorde et le respect et la tolérance mutuelle entre les citoyens.
Nous pensons que, dans la société comme dans nos loges, l’appartenance religieuse est une liberté intime qui doit être garantie à chacune et à chacun, mais elle relève exclusivement de la sphère privée.
C’est pourquoi, les éventuels signes extérieurs spécifiques ou ostentatoires de cette appartenance, et même ceux qui contrairement à la burqa, n’offensent pas la dignité ou l’intégrité de la personne, ne nous semblent pas concourir pas à un vivre ensemble paisible et harmonieux.
Ce point de fond étant reprécisé, je ne peux être l’auteur des paroles que vous me prêtez et que je démens formellement.
Je compte sur toute la rigueur et l’honnêteté journalistiques de votre publication pour faire droit au plus vite à ma demande légitime.
 
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments distingués.
 
La Grande Maîtresse
Catherine JEANNIN-NALTET
 
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