Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.
Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ? Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.
Marie-Thérèse BESSON, Présidente
Dans le cadre de la Journée Internationale contre les violences faites au Femmes, la GRANDE LOGE FEMININE DE FRANCE représentée par sa Présidente Catherine Jeannin-Naltet et la Commission des Droits des Femmes de l’Obédience tiennent à rappeler les autorités de notre pays au respect de la Convention d’Istanbul, premier traité européen contre la violence à l’égard des femmes, dans l’espace public, au sein du couple et de la famille, voire au travail, qui est entrée en vigueur cet été.
Adoptée par les 47 pays membres du conseil de l’Europe, elle a été ratifiée par la France, le 4 juillet 2014.
La Convention d’Istanbul incite les pays à développer non seulement des politiques de prévention, à former des professionnels (elles) pour mettre en place des dispositifs de protection, tels que des services téléphoniques d’assistance, des centres d’accueil, des services de santé, un soutien psychologique et des aides juridiques, mais également à poursuivre les auteurs de tels méfaits.
Cet accord international entend que ses signataires s’attaquent aux stéréotypes sexistes afin de changer les comportements quant aux rôles des femmes dans la société.
La Grande Loge Féminine de France soutient ce texte et souhaite la mise en œuvre des mesures qu’il préconise et encourage les Etats d’Europe qui ne l’auraient pas encore fait à le ratifier.