Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.
Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ? Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.
Marie-Thérèse BESSON, Présidente
A l’occasion de son déplacement à New York le 14 octobre, la ministre des droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, a remis au Secrétariat Général des Nations Unies la notification par la France de la levée de ses réserves sur certaines dispositions de la convention sur l’élimination de toutes les discriminations à l’égard des femmes (CEDAW).
La législation française n'était pas totalement conforme aux termes de l'article 16.1.g qui déterminait l’égalité des parents dans le choix du nom de l'enfant . Cette situation a évolué grâce à l'adoption des termes de la loi sur le mariage pour tous
.http://www.un.org/womenwatch/daw/cedaw/text/fconvention.htm
Cette nouvelle est saluée par la Grande loge féminine de France qui vient d'élaborer un rapport alternatif au rapport gouvernemental de la France pour 2013 qui sera remis à la présidente du CEDAW, Nicole Ameline députée du Calvados ancienne ministre.
La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes CEDAW a été adoptée par l’Assemblée générale de l'ONU en 1979. En 1981, après avoir été ratifiée par 20 pays, elle est entrée en vigueur et le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes a été officiellement créé.
Le Comité a pour rôle de suivre la mise en œuvre de la Convention qui reste fortement méconnue du grand public, dans les États signataires.