Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.
Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ? Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.
Marie-Thérèse BESSON, Présidente
La Grande Loge Féminine de France a été auditionnée, le 8 octobre dernier, par la Mission parlementaire Jean Léonetti et Alain Claeys sur la fin de vie.
A cette occasion, la GLFF a pu faire entendre la réflexion menée de longue date par ses membres sur :
- le développement de la médecine palliative,
- la définition des conditions et des circonstances dans lesquelles l’apaisement des souffrances peut conduire à abréger la vie,
- la prise en compte réelle des directives anticipées en leur donnant une valeur contraignante,
- la sédation terminale, le suicide médicalement assisté et l'euthanasie
La fin de vie est un débat citoyen. La liberté de conscience est le choix ultime de la personne, sa dignité, son autonomie, sa parole doivent être prises en compte et respecté
La Grande Loge Féminine de France défend des valeurs de liberté de vie : donner un sens à sa mort relève de son éthique.