Editorial

Oser. La femme du XXIe siècle, connectée, multitâche, tchatte sur les réseaux sociaux, échange sur les forums, « tweete et retweete », court après son bus, fait répéter leurs leçons à ses enfants ou petits-enfants, pare aux urgences du quotidien.
Vie active d’échanges tous azimuts et pourtant … le smartphone ne capte pas de réseau pour les questions existentielles. Les réponses sont à chercher en soi, dans son réseau de réflexions intérieures et intimes.

Une petite voix s’élève alors dans le silence déconnecté qui appelle la femme à aligner ses différentes activités, les rôles qu’elle joue, et à les comparer avec son moi profond.
Vertige et sentiment de solitude dans ce monde de la toile, du web 2.0. et bientôt du web 3.0.

Comment s’engager seule dans ce cheminement philosophique et spirituel si intimement féminin parfois ?  Surtout ne pas bâillonner la petite voix. Lui prêter oreille.

Marie-Thérèse BESSON, Présidente 

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Soutien aux lycéennes Nigerianes: La GLFF se joint à la manifestation du 13 mai 2014 au Trocadero

La Grande Loge Féminine de France sera présente le mardi 13 mai à 18 heures, sur le parvis du Trocadéro avec les nombreuses organisations qui appellent à un rassemblement pour exiger la libération immédiate des lycéennes enlevées au Nigeria,  rappelant que l’esclavage est un crime contre l’humanité, et que le droit des femmes à l’éducation est un droit fondamental.


texte de l'appel:

Dans la nuit du 13 au 14 avril 2014, plus de 200 jeunes filles étaient enlevées dans leur lycée de Chibok au Nord Est du Nigeria. Le 5 mai, Aboubakar Shekau, le leader du groupe Boko Haram, a revendiqué cet acte et a annoncé que ces jeunes filles seraient mariées de force ou vendues comme esclaves …

Les femmes nigérianes et les familles des jeunes élèves se sont mobilisées pour pousser le gouvernement de leur pays et les autres pays à agir. La solidarité s’est étendue dans le monde, et plusieurs Etats ont proposé leur aide aux autorités nigérianes pour retrouver les jeunes filles. Pendant ce temps, Boko Haram continue à faire régner la terreur. Il faut donc que la mobilisation ne faiblisse pas !

#Bring Back Our Girls !

Nous manifestons, en soutien aux filles et à leurs famille, mais aussi :

Pour exiger la libération immédiate des jeunes filles enlevées : la France et tous les Etats doivent accélérer et amplifier l’action pour retrouver ces jeunes filles et mettre fin aux exactions du groupe Boko Haram.

Pour dire que l’esclavage est un crime contre l’humanité : le 10 mai, la France a commémoré son abolition, mais ce combat n’est pas achevé ! la justice et les institutions internationales doivent se mobiliser pour retrouver, juger et condamner les auteurs de tels crimes.

Et pour que partout, les droits des femmes et des filles, les droits humains fondamentaux soient promus et garantis. La France doit mettre au cœur de ses politiques de coopération et d’aide au développement l’égalité entre les femmes et les hommes, le droit à l’éducation pour toutes et tous. L’éradication de la violence contre les femmes doit figurer parmi les objectifs du Millénaire définis par l’ONU.


Une pétition à signer à l'adresse de  L’UE, l’ONU, l’UNICEF, l’UNESCO

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